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Livre d’or de Kerys

Découvrez ici les critiques parues pour la série Kerys !

Tome 1 : Ceux du mercure

 « Je suis rentrée dans l’histoire en un rien de temps, portée par un style très simple et une excellente intrigue. Après quelques chapitres de mise en place et de présentation des personnages, je n’ai plus refermé le livre. L’histoire se déroule à un rythme assez rapide sans pour autant donner l’impression de brûler les étapes. […]

de belles tenues Nouvelle Époque, des armes qui font « boum », un trio particulier, de l’humour, de la tristesse. Un concentré de bonnes choses pour faire un bon roman. « 

Les Pipelettes en parlent

« Concernant l’intrigue, elle est très vite addictive. On pense pouvoir s’arrêter à la fin de la situation présentée mais une autre s’enchaîne après les explications. Comme on veut tout savoir et tout comprendre, on est obligé de garder le livre en main. Les révélations sont surprenantes. Je ne m’y attendais pas. Ça m’a permis de comprendre pourquoi le roman n’a pas été mis dans une autre classification. Même le commissaire se fait avoir (un personnage malin et sournois qui n’a pas fini de nous surprendre non plus je pense). L’action est remarquable et très bien écrite. L’auteure nous permet de respirer pendant les combat mais pas trop non plus. »

Sortilège des mots

 » Je retiens de cette lecture, outre une plume agréable, des personnages charismatiques. Que ce soit Ripley (j’adore !) ou Artémise, les femmes ont la part belle et de vrais rôles, ce qui change de beaucoup de romans SF ou fantasy.

Certes, c’est une femme qui écrit et pour une fois, on ne cantonne pas les héroïnes à des rôles de méchantes, potiches ou amantes. Ici, elles prennent des risques, des décisions et malmènent Honoré en d’affriolantes levées de jupons et autres coquetteries tout aussi drôles qu’efficaces. Mais derrière ces artifices, les caractères de ces dames et leurs cursus démontrent que le sexe dit faible ne mérite pas ce surnom.

La seule qui m’ait déplu, au départ, se nomme Erika. J’ai eu beaucoup de mal à la cerner (bravo) et j’ai peu à peu ressenti une ambivalence envers elle (rebravo). Éprouver des sentiments en lisant un personnage est une preuve de réussite ! »

Les mots de Nanet

« Alors ce n’est pas compliqué, arrivée là de ma chronique je pourrais vous dire tout le bien que je pense des personnages, de leurs caractères complexes et attachants, de ces scènes d’action qui frisent le cinéma grand écran, ou de cette intrigue qui m’a tenu en haleine jusqu’au bout.
Mais je risquerais de spoiler un peu, de montrer de la préférence ou du dédain selon les informations reçues et ce serait vous gâcher cette lecture qui en vaut largement la peine.
Je dirais simplement que j’avais beaucoup apprécié la plume de Catherine Loiseau en découvrant sa série steampunk humoristique « La ligue des ténèbres ». Les personnages déjà étaient bien campés et nous emportaient dans leurs aventures délirantes avec délectation.
Ici l’univers de Kerys est empli d’images, de créatures et d’inventions qui font vibrer l’imagination du lecteur. Les Abominations et leur classification apporteront quelques éléments connus ou plutôt souvenirs aux lecteurs du défunt Lovecraft. Les descriptions sont visuelles et vivantes, les personnages ont tous un petit quelque chose qui les rend unique et différent.
Je ne saurais dire à qui va ma préférence car ils ont tous un côté fragile derrière une solide carapace de force et de fierté pour certains.
C’est donc un premier tome qui tient ses promesses de nous emporter avec lui et qui laisse un goût de trop peu une fois la dernière page tournée. »

Les passions d’Aely

« J’aime beaucoup le style de Catherine, c’est une plume fluide, moderne.
L’assemblage des personnages, histoire et univers est vraiment bien fait. L’équilibre est tout juste excellent. Nous nous imaginons aisément à Sainte-Victoire. Nous y suivons les personnages tant dans leurs aventures que dans leurs émotions et sentiments.

D’ailleurs, leurs interactions sont cohérentes avec l’univers steampunk de l’histoire avec ses.. J’aurai bien dit stéréotype mais ce n’est pas le mot qui convient, je dirai plutôt avec les mœurs qui avaient cours au XIXème siècle.
Mon personnage préféré est bien sûr Maximilien, il est excellent, puissant, touchant. Bref il est bon quoi.
Le trio capitaine/doctoresse/actrice est juste à mourir de rire.
Oui car ce n’est pas que du steampunk mais aussi beaucoup d’humour. En plus c’est vraiment bien intégré à l’histoire. L’auteure n’en fait pas de trop. Encore une fois bien équilibré. »

Prose Café

« L’histoire est proche en effet de l’univers de Lovecraft et les monstres apocalyptiques, qui débarquent d’un monde parallèle, sont extrêmement bien décrits. Tous les auteurs, mêmes les meilleurs, n’ont pas une plume visuelle. Catherine Loiseau possède cet atout. Il lui suffit de peu de descriptions pour nous ancrer une image en tête. C’est vraiment admirable. Ils m’ont fait froid dans le dos, d’autant qu’au final on ne sais même pas à quoi il ressemble réellement. J’ai eu une petite pensée pour la série Stranger Things je l’avoue 😀

Catherine Loiseau nous offre un roman steampunk teinté d’humour, d’amour aussi.

Autre élément qui m’a interpellé : sa façon de décrire les phénomènes liés à la physique, je pense à l’électricité. C’est tellement bien raconté que ça rajoute encore plus de crédibilité à l’histoire, sachant que nous sommes en 1890 ne l’oublions pas ! Je pense aux premiers prototypes de radios aussi et bien sur aux dirigeables, indispensables à toute histoire du genre 😀 »

 Wonderbook

« L’univers présenté dans les Nouvelles de Kerys m’avait beaucoup plu, cela se confirme à la lecture de ce tome. Il est d’inspiration steampunk, un environnement victorien avec les codes qui y correspondent. La ville où se déroule l’intrigue, Sainte-Victoire, est bien exploitée, on se plait à cheminer en compagnie des personnages entre ses avenues élégantes et ses ruelles plus sombres pour en découvrir le moindre décor. La présence du dirigeable des inventeurs joue aussi beaucoup dans la sensation de dépaysement, et même s’il reste la plupart du temps attaché au sol, on perçoit l’importance symbolique de sa présence dans le récit.

    Bien entendu, le texte ne serait rien sans l’aspect lovecraftien, avec ces fameuses failles qui crachent des créatures monstrueuses appelées Abominations. Ayant lu les nouvelles, certains ressorts pour renseigner les lecteurs me sont apparus plus clairement, même si je n’en conçois aucune gêne, il faut bien que ces informations soient transmises et connues à la lecture du seul roman, de toute façon (et puis, j’aime beaucoup quand Honoré taquine les recrues ^^). Durant une bonne partie du tome, les Abominations correspondent à l’idée que je m’en faisais, effrayantes et en même temps difficiles à décrire, à l’image de ces cauchemars dont on ressort au petit matin avec une sensation confuse d’effroi. « 

Bulle d’Eleyna

Que faites-vous quand vous avez besoin d’une pause ou de vous détendre ? Qu’est-ce qui marche le mieux pour vous ?
Pour ma part, rien de tel qu’un long moment de lecture afin de me remettre d’aplomb !

J’ai d’ailleurs beaucoup aimé l’une de mes dernières lectures : le premier tome de « Ceux du Mercure» de Catherine Loiseau. Encore une fois, il s’agit d’une histoire que j’ai d’abord découverte sur Wattpad et que j’ai pris plaisir à relire une fois publiée et arrivée entre mes mains. 

Je ne suis pas coutumière des univers steampunk – pas que je ne les apprécie pas, je n’en ai simplement pas parcouru beaucoup. Mais je dois dire que celui-ci m’a plu. Je l’ai trouvé très bien construit, immersif et foisonnant de détails.
Et que dire de l’intrigue ? Elle est si rondement menée que j’avais parfois du mal à décrocher de ma lecture, tant j’avais envie de découvrir la suite et d’en apprendre plus ! Si l’humour présent est parfois désopilant, voire déroutant, il se mélange très bien aux autres éléments.
Les personnages, et surtout les relations qu’ils entretiennent entre eux, m’ont immédiatement charmée. Cela change de ce que l’on a l’habitude de lire et un tel vent de nouveauté m’a fait du bien. 

Je recommande chaudement ! En plus, un recueil de nouvelles sur les protagonistes « Nouvelles de Kerys », est également paru. Le bonus : il peut aussi bien être lu avant qu’après le roman. J’ai apprécié ces petits moments supplémentaires grappillés avec les personnages 

Rose P Katell

Ce que j’aime c’est que chaque personnage est bien travaillé, tout en nuances ce qui les rends profondément humains et attachants. De l’oncle Maximilien savant qui a perdu la raison suite à une attaque et ayant perdu sa femme et sa fille. La doctoresse Artémise très stricte, courageuse, amoureuse secrètement mais sachant faire tourner en bourrique l’élu de son cœur. L’espionne austranienne qui sait naviguer en eaux troubles et ruser. Et les cadets qui se font régulièrement prendre dans les coups fourrés.Bref tout un panel qui ont su séduire.

[…]

J’aime aussi que le livre réponde à un critère qui pour moi est très important mais finalement très peu repris (trop peu repris?). Des femmes, minimum deux, dont on connaît leur nom et qui ont une ou des discussions qui n’incluent pas un homme. Ce critère là est très bien respecté dans ce roman. C’est peut-être un détail pour vous mais pour moi ça veut dire beaucoup !;)

Dès le départ on est vite pris dans l’action. Les scènes sont très bien décrites et j’ai adoré lire ces scènes de combats, l’action est rapide, pas le temps de s’ennuyer.

Je pourrai en parler encore pendant des heures. Ce premier tome tient toutes ses promesses. Je vais très vite aller découvrir les autres livres de cette autrice.

Histoire de plume

L’un des grands atouts de ce roman sont les personnages. Honoré Rocheclaire peut sembler goujat au premier abord vu sa façon de considérer la gente féminine mais il est bien plus complexe et surtout très attachant. Il est dévoué à sa patrie et à sa famille, il est drôle, souvent gaffeur.. Et ce schéma se reproduit pour pratiquement tous les personnages : Maximilien Rocheclaire a l’air d’un vieux fou mais est finalement beaucoup plus torturé et profond, Eléonore fait penser à une petite souris apeurée mais est beaucoup plus courageuse et forte qu’elle n’y paraît.. Mais le personnage qui évolue et change le plus au fil de l’histoire est Artémise Bouquet. Son évolution est impressionnante et surprenante et elle est, pour ma part, celle que j’ai le plus apprécié.

Je voulais également faire un petit focus sur Octave Simonet.. Il est le supérieur d’Honoré Rocheclaire et c’est surtout un homme avisé. J’ai adoré ce personnage qui est présent tout au long de l’histoire et qui a une famille des plus surprenantes.

Comme je vous l’ai dis je connaissais déjà la plume de Catherine Loiseau mais ce roman confirme que je suis fan ! Son écriture est fluide et détaillée sans être lourde. Ses descriptions sont précises et permettent à l’imagination de travailler sans être pesante.. Et puis il y a toujours une note d’humour ce qui rend la lecture légère dans un monde Steampunk toujours très réussi. Et pour « Ceux du mercure », j’attends maintenant avec impatience de connaître la suite !

Et tu lis encore Emma


Tome 2 : Ceux du dehors

«  Nous retrouvons le continent de Kerys, et plus précisément la ville de Sainte-Victoire, reflet de notre époque victorienne à ambiance steampunk. On part un peu à la découverte du continent en sortant de la capitale, même si on a finalement guère le temps de visiter. Les choses ont un peu évoluées depuis la fin du précédent volet, et si les gens se promènent toujours en redingotes et robes à tournures, la Canne Bleue, à l’origine de l’apport énergétique de nombreuses technologies, se fait rare depuis la fermeture des failles. Ceci n’est pas anodin, puis qu’elle provoque une vague massive de chômage, terreau idéal pour planter les graines de la révolte. Et qui dit peuple mécontent…

   Les abominations sont pourtant toujours d’actualité et ce second tome nous apprend à les connaître différemment. Cette approche participe certainement à rendre le récit moins effrayant, bien qu’ils soient fait mention de quelques entités cauchemardesques. Peut-être un retour à l’horreur dans le tome 3 ? Quoi qu’il en soit, l’évolution du rapport entre les humains et ceux du dehors (référence à Lovecraft ^^) est plutôt habile, et m’a personnellement permis d’accepter plus facilement un aspect de la fin du tome 1 que j’avais moins apprécié. »

La bulle d’Elenya

« Catherine Loiseau a une écriture résolument moderne, elle vous entraîne dans son univers, tout en douceur, en vous prenant la main.
Non, non ! Ce n’est pas une écriture en langage parlé, loin de là mais c’est moderne, elle nous distille les mots, l’histoire, les moments clés sans que nous nous en rendions compte. c’est bluffant.
Je n’ai pas vu venir la traversée du miroir, je m’attendais à être ailleurs, que je vous laisse découvrir.

Vous ne vous rendez même pas compte que vous tournez les pages, ça vient tout seul jusqu’à « bien se tenir ». Là j’ai pleuré. Le livre est terminé. Et la question se pose, ben oui ! Vais-je devoir attendre encore longtemps pour connaitre la fin de la fin ?

Même si cela peut vous paraître léger ou humoristique (parce que des fois…), il y a certains passages qui sont plus que sérieux, et qu’en lisant entre les lignes, nous pouvons y voir apparaître un morceau de notre société (et pas la plus jolie) dans ce multivers. »

Prose Café

« un deuxième tome chaleureux, vif, plein d’émotions. Un petit bémol qui ne m’a pas empêché d’admirer le travail de création et la construction complexe de l’univers. Une très belle évolution des personnages et une étude de société cachée derrière de la dérision.  « 

Les mots de Nanet

« Ce second tome est parfaitement dans la lignée du 1er : de l’action de l’humour, des rebondissements et toujours des personnages charismatiques. Certains ne sont plus (je dois dire que Maximilien m’a beaucoup manqué) mais d’autres prennent plus d’ampleur sans compter les petits nouveaux que l’on découvre. L’évolution des personnages est toujours aussi intéressantes surtout pour les personnages féminins. En effet, Artémise prend en main sa destinée un peu poussée par Simonet. Le personnage d’Eléonore m’avait déjà beaucoup plu lors du précédent tome et on la voit ici grandir et s’imposer (avec parfois un peu de mal..). Erika et Ripley sont également indispensables à l’histoire et vont changer au fur et à mesure. Le personnage masculin qui m’a le plus plu est Octave Simonet même s’il est un peu différent que dans le premier tome. Son esprit manipulateur me plaît toujours autant et le voir au fil des pages c’est comme assister à une partie d’échecs. « 

Et tu lis encore Emma


Tome 3 : Celles dont le nom fait frémir

« Te dire que j’aime beaucoup le style de Catherine Loiseau.
Te dire que son écriture est fluide, moderne, que ça se lit tout seul.
Te dire que le multivers que l’auteure nous propose est énorme.
Te dire encore que ses personnages sont hilarant.e.s, sérieu.ses.x ou séduisant.e.s.
Puis il y a toujours cet humour…
Que le côté steampunk est toujours aussi déroutant avec le décalage androïde/développement technologique.
Mais quelles aventures !!! Je ne dis pas que ça ne s’arrête jamais. Tu as des temps de pause où les personnages se découvrent, se retrouvent, s’aiment, c’est fort émotionnellement aussi.
Cette fin !!! C’est juste horrible, vous m’avez fait souffrir Madame. »

Yannick de Prose Café

« Le ton est quant à lui toujours très léger, la lecture très fluide et l’humour bien au rendez-vous. En somme, la situation est grave, mais (presque) pas désespérée !
Je ne m’attendais pas à cette fin, mais elle permet à chacun des personnages de trouver sa place et à l’histoire de se poursuivre même s’il s’agissait là du dernier tome. Chaque intrigue est achevée dans cette univers comme dans l’autre.

Catherine Loiseau aura même pris le soin de faire un clin d’œil aux autres auteurs d’Hydralune. Une jolie attention !
Alors, comme toujours, si vous aimez les jolies robes froufroutantes, le steampunk, les androïdes et la Tour Eiffel, lisez la trilogie Kerys ! »

Les Pipelettes en parlent


Nouvelles de Kerys

« Alors à lire avant? À lire après? L’auteure elle-même m’a conseillé de faire à mon choix.

Un point commun à nos chers inventeurs rencontrés. Ils semblent tous un peu fous. Inventeur hors pair, bricoleurs de génie mais sensiblement tous un peu foldingues. C’est aussi un point supplémentaire qui me donne envie d’en savoir plus sur cet univers.

Je dirai donc à lire avant le roman. Mais je vous confirmerai cela une fois celui-ci lu 😉

En attendant j’avais beaucoup aimé le style et la plume de Catherine Loiseau avec les aventures de la Ligue des ténèbres. Ces petites nouvelles confirment mon engouement car elle sait manier l’action et l’humour tout comme la dérision et l’émotion. A découvrir donc sans modération. »

Les passions d’Aely

« Un ensemble de nouvelles que j’ai lu avant Ceux du mercure, et qui prépare parfaitement à cette lecture. Même univers, mêmes personnages, un apprentissage des spécificités de l’ensemble bienvenu et ludique, notamment sur les catégories des Abominations présentées dans ce fameux manuel d’Honoré Rocheclaire, ou encore les petites particularités des différents protagonistes à travers une histoire spécifique à chacun. Personnages hauts en couleur que l’on apprend d’ailleurs vite à apprécier, avant même leurs mésaventures principales. On y découvre aussi Sainte-Victoire, la ville à ambiance victorienne où se déroule Ceux du mercure. Vraiment, si vous hésitez à vous lancer dans son roman, lisez les Nouvelles de Kerys, vous serez vite convaincus. »

Bulle d’Eleyna

« La première nouvelle : Petit manuel à l’usage des distraits, est une véritable mine d’informations sur le monde de Kerys et sur les abominations qui tentent régulièrement de venir y semer la panique ou plus…

Les nouvelles qui suivent mettent en exergue les montres présentés dans le recueil et/ou les façons de les combattre, sans faire trop de dégâts.

Enfin, en théorie.

Certaines expériences sont, parfois, un peu… enfin, ce sont des essais, les scientifiques ont besoin de tester leurs recherches, on ne peut pas les blâmer en cas de malencontreuses destructions annexes.

Si ? »

Les mots de Nanet