Bonjour à tous !
ça y est, c’est l’été. Je profite de mes congés pour visionner plein de films et de séries, à la fois parce que ça me fait plaisir, et que ça me permet de faire des recherches pour la saison 3 de la Ligue des ténèbres, actuellement en cours d’écriture. Mon épisode 17 étant une course steampunk dans le désert, j’ai donc visionné Those magnificent men in their flying machines (ou How I flew from London to Paris in 25 hours and 11 minutes).
Le film date de 1965 et a été réalisé par Ken Akin. Le pitch est simple : en 1910, sous l’influence de sa fille Patricia, passionnée d’aviation, le très riche Lord Rawnsley décide d’organiser une course d’aviation et d’inviter les plus grands pilotes de toutes les nations.
Pourquoi est-ce que ce film est susceptible d’intéresser les vaporistes?
Pour les costumes
L’action se situe en 1910, on a droit à de superbes toilettes portées par Patricia. De beaux uniformes, des tenues de pilotes. On a même une scène de baignade à Douvres, avec de très jolis maillots de bain vintage (pas trouvé de photos malheureusement, il va falloir me croire sur parole et voir le film ;).
Pour les avions
On ne va pas le cacher, c’est pour ça au départ que j’ai regardé le film : pour les avions, et je ne suis vraiment pas déçue. Sans être fan de mécanique, les appareils sont magnifiques, un vrai régal pour les yeux.
Ah oui, il y a aussi quelques voitures assez sympathiques à regarder…
Parce qu’il est drôle
Eh oui, c’est une comédie assez enlevée, une farce même. On a droit à un certain nombre de crash amusants, de pannes qui prennent des proportions épiques. Il y a un duel au pistolet à bord d’une montgolfière qui est tout simplement génial.
Les personnages sont assez bien campés, chacun incarne le stéréotype de sa nation : les Anglais sont collet monté, l’Américain est rustre, les Allemands hyper disciplinés, l’Italien exubérant, le Français ne pense qu’à draguer… ça pourrait être raciste, mais au final, tout le monde en prend pour son grade, et les acteurs s’amusent tellement à jouer de ces clichés que c’est à mourir de rire.
En résumé, c’est un film que je conseille vraiment, pour passer un bon moment de détente et baver devant des avions 1910. Sur ce, je retourne à mon épisode 17, le professeur Nutter me fait signe que le jetpack de Samantha est prêt.