Critique de « Porcelaine », Estelle Faye
Résumé
Chine, vers l’an 200. Xiao Chen est un comédien errant, jeté sur les routes par un dieu vengeur. Un masque à forme humaine dissimule son faciès de tigre, tandis que son cœur est de porcelaine fêlée. Son voyage va durer plus de mille ans.
Au cours de son périple, il rencontrera Li Mei, une jeune tisseuse, la Belle qui verra en lui plus qu’une Bête. Celle qui, sans doute, saura lui rendre son cœur de chair. Cependant Brume de Rivière, fille-fée jalouse et manipulatrice, intrigue dans l’ombre contre leur bonheur.
Pendant presque quinze siècles, rivalités et amour s’entrecroisent, tissant une histoire de passion, de tendresse et de sacrifice, sur fond de magie et de théâtre.
Après avoir lu moult bonnes critiques sur ce roman, j’ai craqué à Trolls et Légendes et je suis repartie avec l’ouvrage sous le bras (dédicacé en prime). Bien m’en a pris car « Porcelaine » a été une très bonne surprise pour moi.