Lecture et visionnage – Avril 2021
Bonjour à tous ! On repart pour un nouveau mois de lecture et de visionnage Je pense que vous commencez à connaître le principe :… Lire la suite »Lecture et visionnage – Avril 2021
Bonjour à tous ! On repart pour un nouveau mois de lecture et de visionnage Je pense que vous commencez à connaître le principe :… Lire la suite »Lecture et visionnage – Avril 2021
Bonjour à tous On inaugure ce mois-ci un nouveau format sur le site : chaque mois, je listerai ce que j’ai lu comme livres… Lire la suite »Lectures et visionnages – Janvier 2021
La survie de Molly Southborne, Tade Thompson Résumé Qui est Molly ? Une jeune femme frappée de la pire des malédictions, morte dans l’incendie de son… Lire la suite »La survie de Molly Southborne, Tade Thompson
Résumé
Les services secrets britanniques et américains en ont la preuve : Al Qaeda prépare un nouvel attentat. Infiltrer la nébuleuse ? Impossible. À moins que… L’Afghan, c’est Izmat Khan, un chef taliban détenu à Guantanamo. Ce sera aussi le colonel Mike Martin, vétéran des SAS, rescapé de tous les conflits. Élevé en Irak, il est le seul à pouvoir passer pour un Arabe, à pouvoir être substitué au Khan…
Mon avis
Un grand merci à ma maman, immense fan de Forsyth, pour m’avoir offert ce livre. J’avais déjà lu plusieurs titres de cet auteur, mais je pense que celui-là est mon favori.
Tout d’abord, un petit mot pour vous prévenir : si vous chercher un thriller qui va à 100 à l’heure, où l’on échange des coups de feu et des explosions, passez votre chemin, car vous serez déçus. L’Afghan, malgré le titre, c’est plus l’histoire d’un groupe de personne, et d’une opération, que le récit des exploits d’un seul homme.
J’ai beaucoup aimé le côté choral du livre, et l’attachement de Forsyth à décrire tous les personnages, même les terroristes. Chacun a sa personnalité, son histoire et ses motivations. J’ai trouvé que ça donnait de la profondeur à l’histoire. Tout n’est jamais tout blanc, ni tout noir.
Sont également beaucoup décrits les événements qui ont amené à la création des talibans, au 11 septembre… Là aussi, c’est très riche, et on évite du coup l’écueil des méchants musulmans tous terroristes (quelque chose qu’il faut malheureusement rappeler ces temps-ci).
Résumé
Nobuaki est réveillé en pleine nuit par un étrange SMS qui met au défi deux de ses camarades de lycée de s’embrasser. Le mystérieux expéditeur du message prétend que la classe entière participe à un « King’s Game’. Jour après jour, les défis se succèdent, et les lycéens sont bien obligés de se rendre à l’évidence : ils ont 24 heures pour s’exécuter et la sanction en cas de désobéissance est la mort. Suicides ou meurtres ? Puissance occulte ou criminel de chair et de sang ? Où qu’elles soient, quoi qu’elles tentent pour s’échapper, la mort vient trouver ses jeunes victimes, infaillible. Le couperet se rapproche dangereusement de nos héros… Parviendront-ils à découvrir la vérité avant qu’il ne s’abatte ? 1 classe, 32 élèves, 24 heures pour obéir. Une seule sanction : la mort.
Mon avis
Il ne m’a pas fallu longtemps pour venir à bout de ce roman, à la fois parce qu’il est assez court (350 pages, imprimées gros), mais aussi parce qu’il est terriblement addictif.
Ça démarre plutôt sagement, avec ce défi lancé aux élèves de la classe, et puis rapidement, les défis s’enchaînent et deviennent de plus en plus machiavéliques. Les gages font écho les uns aux autres, et les élèves se retrouvent pris au piège.
J’ai beaucoup aimé la structure, très bien menée et haletante, jusqu’au bout, on se demande quel sera le prochain défi, qui va succomber, ce que le roi va inventer et surtout, qui est ce fameux roi. Une fois l’intrigue lancée, plus moyen de lâcher le livre.