Critique « Timbré », Terry Pratchett
Résumé
Moite Von Lipwig est un escroc et l’un des meilleurs. Seulement voilà, on ne réussit pas à tous les coups, et parfois on n’échappe à la pendaison. Sauf pour Moite qui au lieu de se réveiller dans l’au-delà se retrouve dans le bureau du Patricien Vétérini. Au lieu de l’enfermer ou le torturer, celui-ci lui propose alors un emploi : receveur des postes d’Ankh-Morpok.
Seulement, la Poste est moribonde depuis des années, les lettres non distribuées se sont accumulées. Sans compter que les précesseurs de Moite sont morts dans d’étranges circonstances et que la concurrence de l’Interurbain est rude.
Aidé de Liard le postier et d’Yves l’apprenti-postier, assisté par la volcanique Adora Belle Chercoeur, Moite devra déployer tout son talent pour remplir la mission confiée par Vétérini.
Mon avis
En grande fan de Terry Pratchett, je ne pouvais pas manquer la parution de « Timbré » en poche (pour la petite histoire, j’ai commencé la collection des Disque-monde en poche lorsque je n’étais qu’une étudiante fauchée, vu que je ne pouvais pas m’offrir le grand format Atalante).
C’est toujours un grand plaisir de retrouver l’univers de Pratchett, Ankh-Morpok et ses guildes, son patricien, son guet, ses golems, ses magouilles en tout genre. A ce titre, Timbré ne propose rien de vraiment nouveau, juste un approfondissement de certains éléments déjà amorcés dans les livres précédents (Le Disque-Monde, les Clics-clacs, les golems,…). Le plus puristes pourront le regretter, moi ça ne m’a pas gêné outre mesure.